Le marketing, c’est la guerre ! [E-marketing]
Après Star Wars et la guerres des étoiles, place au Warmarketing et la guerre sur internet !
Le warmarketing, kesako ?
Le warmarketing se définit comme une stratégie e e-marketing très offensive et particulièrement agressive.
Le warseo, pour lancer les festivités
Le référencement (référencement naturel notamment) devient de plus en plus complexe et les stratégies mise en œuvre sont de plus en plus tordues et attaquent l’ennemi de front !
Le référencement politiquement correct est le référencement white hat mais ne nous y trompons pas, les entreprises (et grands groupes notamment) qui souhaitent (veulent) se positionner sur des mots clés très concurrentiels pour acquérir un maximum de visibilité sont très exigeantes envers les référenceurs.
Le référenceur se profile donc de plus en plus en référenceur black hat et change, malgré lui, de chapeau.
Quoi ? Qu’est ce tu dis ? Et l’éthique là-dedans hein ? Et puis, on a toujours le choix, si un référenceur white hat devient un référenceur black hat, c’est qu’il a choisi et voulu de manière délibérée !
Hum, oui et non (je dois avoir des origines normandes…) : oui, je suis d’accord et comprend tout à fait cet argument (oui j’adore parler à moi-même 🙂 ) mais le réfute dans une certaine mesure.
Dans un monde idéal, oui, le référenceur utiliserait des techniques de référencement super propres et tout cela dans le seul but de donner une information pertinente à l’utilisateur : cela est vrai dans l’absolu pour des mots clés comme “referencement montpellier” ou “agence referencement” mais pour des mots clés comme “referencement“, le proverbe du “pas vu, pas pris” serairt plus de rigueur…
Les enjeux commerciaux sont tellement énormes et la pression est telle que, si le référenceur n’applique pas des techniques de référencement plus ou moins border-line, il ne pourra jamais espérer atteindre la première position, ou du moins très difficilement et très lentement…
Tous les coups bas sont permis (pour l’instant) : negative SEO ou comment détruire le référencement d’un concurrent (c’est moche) par exemple.
Le problème avec le référencement black hat, c’est la notion de durabilité mais aussi de limite car les limites avec le piratage informatique et hacking ne sont pas très loin voire floues.
Le référencement en ce moment, cela serait plutôt “la fin justifie les moyens”.
Le référencement manuel, c’est bien mais si vous saviez aujourd’hui le nombre d’outils SEO qu’ils existent et leurs fonctionnalités, c’est tout simplement… hallucinant ! C’est un truc de fou !
Du warseo au warmarketing
Le référenceur prend un grade et devient maintenant un webmarketeur : un référenceur aujourd’hui n’a plus besoin d’être forcément un as du technique mais plutôt d’être un as en stratégie internet.
Le référenceur aujourd’hui ne se pose plus la question “comment vais-je faire pour référencer ce site internet ?” mais “quelle stratégie internet je vais mettre en œuvre pour inonder le web ?”.
Le référenceur-webmarketeur agit sur tous les fronts : réseaux sociaux, avis consommateurs, Digg Likes, communiqués de presse, annuaires, Google Image, Google Vidéo, Google Adwords, Google Actualités, Google Maps, blogs, flux rss…
De plus en plus d’entreprises font appel à des sociétés spécialisées (et notamment aux experts en référencement) pour redorer leur blason, prendre le contrôle de leur visibilité et leur e-réputation.
L’avantage de cette guerre internet, cette guerre de visibilité, sans merci réside dans la création et la diversification des métiers liés au webmarketing.
Aujourd’hui, plus que jamais, le référencement devient un enjeu stratégique :
- repérage de la stratégie des concurrents
- réflexion et mise en œuvre de la stratégie d’attaque
- préparation des munitions
- bombardement des missiles et mise en place d’alertes pour contre-attaquer
Certains soldats choisiront de vaincre en restaurant la paix de manière éthique (c’est mieux), d’autres choisiront la prise de pouvoir par la destruction massive de l’ennemi.
